MON OBESESSION POETIQUE

ma plume me deprime
elle m'abime
et me consume
elle me tue
en me sauvant la vie
ma plume pleure pour moi
et souris pour vous

j'ai ma plume sous la gorge............mon espace de poesie, rien que pour vous,,,,, j'essayerai de vous surprendre, et surtout vous toucher.........

pourquoi j'ecris, pourquoi la poesie......bin lisez, c'est trop long je sais, mais donnez moi un peu de temps
y en a qui connaissent ce poeme d autres non, alors il est a vous.prenez en soin

ecrire

une nuit avec toi,sous la lumiere d'une bougie
a faire couler l'encre ,jaillit toute cette magie
desormais,je ne suis qu'une autre de tes victimes
depuis que tu m'entends chanter le bitume

je t'ai rencontrè le coeur en siviere
une sourde aveugle noyèe dans ses rivieres
victime?dis plutot que je t'ai sauvè la vie
redonnè le souffle du reve et ainsi que l'envie

menteuse,mon ame est toujours cette rebelle
qui ne plane jamais sur du cabrel
n entend meme pas quand on l appelle"ma belle"
et me vie est toujours
un duel conflictuel
entre ame spirituelle
et monde cruel

oui mais de ton coeur je connais meme les sinueuses ruelles
et tous ces endroits qui pleurent sur du bruel
je suis ta plume,ne cherche pas a comprendre,tu m as dans les genes
utopique de croire resister a l envie de m'ouvrir les veines
fais moi saigner et je te tendrais ma main
tu peux meme la couper,je ne te lacherai pas le lendemain
je deviendrai seche pour qu enfin tu souris
car y a que moi pour sauver ton ame de tous ce qui la pourrit
sans moi,tu ne sera autre que debri
sur lequel on marche sans entendre aucun de ses cris
visage mossade et tous te paraitrait gris

a quoi bon te tuer,et pourquoi dire
ce que rares sont ceux qui ont envie de lire
la ou on prends tes larmes pour du delire
pourquoi me faire croire qu avec l ecrit on evite le pire
et que la vie n est plus un cours de tire
a quoi bon dire ,a quoi bon ecrire
pardonne moi ma plume ,de perdre cette hodasse
de me battre et de dire non en pleine face
crois moi je n ai plus envie d aller a la chasse
depuis qu en moi ,je garde cette trace
qu on ne pardonne pas quand on est arabe de race
a quoi bon eviter tous ce qui casse
alors qu il est possible que ce soit toi qui le fasse

ne soi pas ingrate ,ne dis pas qu avec moi ce n est pas mieu
que seule , t aurais cherchè le chemin du retour vers dieu
que t aurai cherchè le pardon du seigneur des cieux
avec le coeur et les larmes pleins les yeux
non, ne dis pas que sans moi t aurai parlè de l ombre
des nès sous x ,de tous ces enfants de la colombe
qui s est deployè les ailes ,aussitot eux ,mis au monde
sans moi,tu n aurais pas la force de continuer
rappele toi cette annèe ou tu ne faisais que suer
sous l amertume,de ce monde qui puait

tu as raison,sans toi je ne suis peutetre rien
et c justement sa qui ne me fait pas que du bien
car dans la vie,il ne suffit pas d y mettre du sien
crois moi,tu n as plus l envie de vivre en quittant un hospice de viellards
apres sa tous le monde te pararitrais que des trouillards
et la vie n est plus rien qu un vice
un artifice,qui ne merite aucun sacrifice
crois moi t as plus envie de vivre en sortant d une morgue
le ou sa rit,la ou on ose meme parler mode
la ou on se plaint a cause d une odeur
ou on tape les morts ,et oui! on a meme cette hardeur
la ou la vie d un homme ne vaut plus rien
c mentir de dire que vivre c est bien
donc stp;arrete ,vas y lache moi
j en ai plein le cul que tu me dictes mes lois
car comme pinochio,tu n es souvent qu un morceau de bois
et tu sais ce qu on dit "pinochio est un menteur"
alors arrete de me faire croire que mon coeur est un moteur
et qu il faut se bouger les fesses a la conquete du bonheur

si c vari ,alors pourquoi tu m as toujours dans les mains
pourquoi tu t obstine a chercher tous ces bons refrains
vas y dis moi que j appuie sur les freins
mais si un jour,le destin nous croise dans un train
j essayerai de te reconquerir et ensemble on fera le point
sur notre histoire,bien au chaud ds le cafè du coin
et la tu me retombera ds les bras sans alccol ni join
tu me fera meme l amour a la compagne,sur une motte de foin
et il n ya qu avec moi que tu ira aussi loin

mais non reste,stp, tu me colle aux doigts
je ne paux pas te quitter,car ya qu avec toi
que je me sens etre en restant moi
une annèe loin de toi,je ne faisais que me perdre
a chier sur tous,j arretais pas de me plaindre
au point ou meme moi je commencais a me craindre
et ma vie je n arrivais meme pas a la peindre
tu veux que je te dise quoi apart que je ne cherche pas ta gloire
je m en fous des ephemeres de la vie et de tous ses deboirs
aujourd hui je ne cherceh que la force d y croire
fini ce temps ou je chiais meme sur le respect
ne me dis pas que g eu tort,j ai deja cet aspect
mais aujourd'hui,je suis tous sauf une casse pieds
alors oui j ecris ,au respect,a l espoir
a la famille , l amour et au devoir
a l amitiè;la vie et a allah
deja la j entends son appel
s elever loin dans le ciel
pour la priere ,chaque nuit nous rappelle
alors aurevoir ma plume;je te quitte pour la priere
mais je te promets de jamais me retrouver dans une siviere
car desormais,elle est seche la riviere

merci de votre lecture

ma plume pleure pour moi
et souris pour vous
waw,, Vraiment cool ce que t'as ecris la! walah
qui fait pleurer ta plume, c'est toi!
tu fais pleurer ta plume pour qu'elle nous fasse sourir!
c'est toi qui nous fait sourir!

J' écris pour regagner du terrain sur la déroute continuelle d'avoir longuement parlé.
Sauver les mots de leur instantanéité, de leur être transitoire et les conduire par notre réconciliation vers le perdurable, c'est ma tâche.
Je désire dire le secret ; ce qui ne peut se dire à haute voix à cause de la trop grande charge de vérité que je renferme ; les grandes vérités n'ont pas l'habitude de se dire en parlant. La vérité de ce qui se passe dans le sein secret du temps, c'est le silence des vies, et il ne peut se dire. “ Il y a des choses qui ne peuvent se dire ”, cela est certain. Mais ce qui ne peut se dire, c'est ce qu'il faut écrire.
Découvrir le secret et le communiquer, ce sont les deux stimulants qui me meuvent .

J'aime écrire et je hurle en écrivant !!!

tres bien dit tous ceci..............trouver en les mots toutes les cures que seule une fueille blanche nous offre, etre soi mème face a toutes ces lignes...avoir le droit de souffrir, sourir et mème le droit de mourir le temps de quelques lignes, c'est ce qui fait que chaque jour qui passe m'eloigne de la solitude et me rapproche de ma poesie.comme se dit, trouver un divan entre les lignes ainsi se definirait ma poesie a moi............merci de partager le mm amour que moi

obsèdèe_textuelle a écrit:: tres bien dit tous ceci..............trouver en les mots toutes les cures que seule une fueille blanche nous offre, etre soi mème face a toutes ces lignes...avoir le droit de souffrir, sourir et mème le droit de mourir le temps de quelques lignes, c'est ce qui fait que chaque jour qui passe m'eloigne de la solitude et me rapproche de ma poesie.comme se dit, trouver un divan entre les lignes ainsi se definirait ma poesie a moi............merci de partager le mm amour que moi

Remercie pas c'est un énorme plaisir de partager c'est une obssession textuelle non ??

voila je reprend mon stylo et me voila partie pour un autre tour de poesie.........
cette fois si j'ai ecrit sur la plage...........alors lisez moi et dites vos impressions.....

Mer !

Quand en spectateurs indignes et ivrogneries sordides

Se déguise puis défile ton théâtre de l’absurde

Mer !tu enfantes des sourires les plus morbides

Tout ce que l’humanité enterre de plus lucide.

Quand la pluie chasse de toi la vie et sa bévue

Pour ne laisser place qu’au mutisme des cœurs déçus

Puis quand le soleil vient ressusciter dans les bras de ton eau

Mer !tu honore ma folie de jouissance ambigüe

Semblable aux poignards dans les cœurs lourds de fardeaux

Toi qui recueille les lamentations des corps incinérés

Et les chante dans les oreilles de mes instinctives réflexions

A en faire tomber les nauséabonds masques de mes illusions

Puis écoute les tréfonds de mon inconscient, larmoyer et vociférer

Tel un poison envahissant, subtilement, les veines de la bête

Mer ! Tes vagues me pénètrent jusqu’aux bouts des ongles

Me dévêtir de ma peau, en suit, un dépaysement dans ma tète

Ne serait ce donc l’inaccessible néant qu’un océan qui ronfle !

Et quand ton vent caresse les voiles du bateau qui s’enfuit

A l’aube pour une autre aventure vers un royaume sans bataille

Mon attention le suit car tout comme lui, mon cœur fuit

Vers ce nulle part si lointain de moi, puis quand vient la nuit

Le bateau retrouve le port et moi je retrouve mes entrailles

Ainsi je rentre avec la salive au gout du sel

Et le corps aux frissons des femmes infidèles

Apres une noyade hivernale dans le bleu de l’océan

Mais sur mon âme blasée ! l’hypnose de l’insoucieux néant.

toi et tes poemes ils finirons par me tuer un de ces jours!!!! mé jpren le riske c tré profond c normal ça vien de toi

a tu parle de mon endroit prefere d'une tel maniere ,,j'imagine ça dans l'hiver ,des voiliers et voila un jolie spectable ,
tres joli poeme comme toujours ,,merci de nous le faire partager..

merci de me lire surout cousine adorée